tag:blogger.com,1999:blog-312995433609385936.post2725823312933444062..comments2024-03-07T11:13:57.799+01:00Comments on Les portes de la perception: Laurent Danchin : « la synergie de l’œil, de la tête et de la main »Murièle Camachttp://www.blogger.com/profile/07461005188904975010noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-312995433609385936.post-23910930184882253012016-05-29T10:03:09.626+02:002016-05-29T10:03:09.626+02:00Très beau texte, merci - "nos sentiments tent...Très beau texte, merci - "nos sentiments tentent d'atteindre la compréhension"... Je connais trop peu Emmet Gowin, mais vous me donnez envie d'aller y regarder de plus près !Murièle Camachttps://www.blogger.com/profile/07461005188904975010noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-312995433609385936.post-63817187100540291672016-05-25T10:23:35.027+02:002016-05-25T10:23:35.027+02:00Bonjour,
Connaissez-vous les photographies de Emme...Bonjour,<br />Connaissez-vous les photographies de Emmet Gowin? Photographe américain de 75 ans (vous aimez savoir l'âge)? Un magnifique livre retrace l'ensemble de son travail aux éditions Xavier Barral et dans ce livre il y a un texte sur la photographie de paysage, qui, personnellement, me donne des frissons de bonheur:<br />"Dans une photographie de paysage, l'esprit comme le cœur doivent y trouver leur place. Devant le paysage, nous cherchons une invitation à y rester sans préméditation. Il s'agit toujours, en quelque sorte, de notre foyer. Parfois, nous pouvons y chercher aussi une architecture de la lumière et une poésie de l'atmosphère qui invite notre regard à pénétrer dans un paysage en pleine mutation. Il peut s'agir également de la carte - la preuve de l'objet en soi. Cela peut aussi être, dans tous les cas, la vision d'un double monde, le monde des apparences et le monde invisible à la fois. <br />Même lorsqu'un paysage est profondément défiguré ou brutalisé, il brûle encore d'une vive animation intérieure. Quand nous percevons l'essence de ces lieux imposants, vastes et effroyables, un sentiment poignant peut nous envahir, notre sens de la totalité étant bouleversé par cette vision. Le cœur semble se rétracter, tandis que le corps donne toujours l'impression de rétrécir. À cet instant précis, nos sentiments tentent d'atteindre la compréhension. Telle est la vertu d'une photographie de paysage: permettre au cœur de trouvé la place qui est la sienne". <br />Belle journée à vous. Poildevinhttps://www.blogger.com/profile/10073267610870237880noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-312995433609385936.post-31613764832269285522016-05-24T17:47:43.092+02:002016-05-24T17:47:43.092+02:00Et merci à vous pour ces propos. Toute résistance ...Et merci à vous pour ces propos. Toute résistance à la dictature de l'académisme contemporain est précieuse !Murièle Camachttps://www.blogger.com/profile/07461005188904975010noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-312995433609385936.post-58586939525431767312016-05-24T12:56:26.924+02:002016-05-24T12:56:26.924+02:00Ah que ça fait du bien de lire cet avis sur l'...Ah que ça fait du bien de lire cet avis sur l'art contemporain (une amie le nomme l'art contant pour rien!). Pour la première fois de ma déjà assez longue vie, je suis allé à Paris photo en novembre 2015. J'y ai vu des ŒUVRES, pour le mieux, au service de l'esprit, du mental mais pas grand chose au service de l'imaginaire. Mais peut-être que la période n'était pas à entendre cette phrase de Jodorowsky "un art qui ne sert pas à guérir n'est pas un art". <br />Merci pour ce blog. Poildevinhttps://www.blogger.com/profile/10073267610870237880noreply@blogger.com