tag:blogger.com,1999:blog-312995433609385936.post6877863747439057332..comments2024-03-07T11:13:57.799+01:00Comments on Les portes de la perception: Un poème de Xavier PersonMurièle Camachttp://www.blogger.com/profile/07461005188904975010noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-312995433609385936.post-52701131717227166412014-04-30T13:09:02.644+02:002014-04-30T13:09:02.644+02:00Oui, je pense que je ne saurais pas mieux dire que...Oui, je pense que je ne saurais pas mieux dire que vous ne le faites ! Une sirène, n'est-ce pas du rêve, de l'illusion, et aussi en même temps quelque chose qui attire et auquel on ne peut de toute façon pas échapper ? (Et puis ça vit dans l'eau.) Comment - et pourquoi - échapper à la langue et à ses beaux rêves ?Murièle Camachttps://www.blogger.com/profile/07461005188904975010noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-312995433609385936.post-54359145726050198512014-04-28T10:19:39.369+02:002014-04-28T10:19:39.369+02:00"... ayant tout perdu à un moment, ayant aimé..."... ayant tout perdu à un moment, ayant aimé cela, ayant aimé cette phrase comme jamais aucune phrase..." il y a de la jouissance là -dedans à s'abandonner au flux du rêve comme il pourrait y en avoir à se laisser porter par la phrase qui s'impose d'elle-même. C'est ce que vous appelez : la sirène de la langue ?<br /><br />M.B.R.Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/01864333183981560064noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-312995433609385936.post-19294642887710771462014-04-27T20:40:43.043+02:002014-04-27T20:40:43.043+02:00Nerval avait "rêvé dans la grotte où nage la ...Nerval avait "rêvé dans la grotte où nage la sirène", Person rêve et nage à la fois - avec la sirène de la langue, peut-être ?Murièle Camachttps://www.blogger.com/profile/07461005188904975010noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-312995433609385936.post-85414001711426417122014-04-27T16:07:22.466+02:002014-04-27T16:07:22.466+02:00On est saisi ici par la plasticité du langage. Les...On est saisi ici par la plasticité du langage. Les frontières sont abolies entre syntaxe pensée et parole: tout baigne dans le même bain liquide. Ce qui permet à l'imagination et à la pensée de ne faire qu'un en une sorte de magma indifférencié. Comme si l'on atteignait un pays inconnu où résiderait la source de l'inspiration, que ce soit poésie, rêve ou pensée brute. Étrange sensation de lire une nouvelle langue, tentative d'approche des confins de la pensée ? Ou tentative de poème? Ou les deux à la fois?<br /><br />Marie-Brigitte RUELAnonymoushttps://www.blogger.com/profile/01864333183981560064noreply@blogger.com