[…]
La beauté seule excuse
les fausses leçons
que le poète, ému par ses
propres chansons,
se croit le droit de nous
donner. Car notre oreille
ne cherche pas la vérité
mais la merveille.
Et trouve chez de Staël
une formule ad hoc :
« On ne peint pas ce
que l’on voit, on peint le choc ».
Pierre Vinclair, Sans adresse,
éditions Lurlure, 2018
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