Vide-poche : le poète Saint-John Perse


En ces temps où l'énergie nucléaire commence (enfin) à être remise en question, un salut à Saint-John Perse qui termine ainsi son allocution au banquet Nobel de 1960:

"Face à l'énergie nucléaire, la lampe d'argile du poète suffira-t-elle à son propos ? 
— Oui, si d'argile se souvient l'homme."

Essayons donc de ne pas nous laisser aveugler.


Tableau de Georges de la Tour

1 commentaire:

  1. A méditer en effet comme nous y invite cette femme pensive à la lueur de la flamme...

    M.B. Ruel

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