Vide-poche : Pierre Vinclair et Nicolas de Staël


[…]
La beauté seule excuse les fausses leçons
que le poète, ému par ses propres chansons,
se croit le droit de nous donner. Car notre oreille
ne cherche pas la vérité mais la merveille.
Et trouve chez de Staël une formule ad hoc :
« On ne peint pas ce que l’on voit, on peint le choc ».

Pierre Vinclair, Sans adresse, éditions Lurlure, 2018


Nicolas de Staël, Soleil peint


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