« L’œuvre d’art donne une forme au chaos, non pas parce
qu’elle révélerait une signification cachée du monde. La forêt est plus ou
moins dense pour chacun d’entre nous, mais nous cherchons tous un chemin pour
la traverser. »
Lu lors de l'exposition « Hello, my name is Bernard Frize », à
la galerie Perrotin, à Paris.
© Bernard Frize |
Cette réflexion pourrait s'interpréter de mille façons. J'en vois une parmi tant d'autres dans les installations/vidéo de Bill Viola actuellement visibles à Paris, ses traversées sont une belle façon de donner forme au chaos.
RépondreSupprimerMerci Murièle, pour ce post ! Une nouvelle découverte.
Marie-Brigitte Ruel
Je pense que c'est exactement de ça qu'il s'agit en effet : traversée de l'eau, ou de la forêt - ou de la mort - ou de la langue...
SupprimerPas encore vu cet expo de Bill Viola mais j'ai hâte d'y aller !
cetTE expo
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